Le C.E.S.R. a recherché, au travers de cette étude, à dresser un portrait, sinon exhaustif tout du moins significatif, de la partie du territoire bas-normand la plus connue des français et des étrangers par les clichés qu'elle véhicule -avec les planches de Deauville, les plages du Débarquement, le Mont-Saint-Michel...-, mais aussi la plus à même de permettre un développement économique (tourisme, aquaculture, activités portuaires ... ).
Pour faire le point des utilisations de la bande littorale, le parti a été pris de scinder cette étude en trois approches successives :
La première partie, "approche descriptive de la bande littorale", porte donc sur les aspects caractéristiques de cette portion du territoire régional qui, en plus de constituer un pôle attractif pour la population, concentre également un certain nombre d'activités spécifiques dont la localisation doit beaucoup aux données du milieu naturel.
La deuxième partie, "un milieu fragile mais protégé", montre que l'espace littoral soumis à diverses pressions se révèle comme un milieu naturel fragile qu'il faut protéger à la fois contre les agressions anthropiques et naturelles.
La troisième partie relative aux "politiques en direction du littoral" évoque les différentes actions et aides dont cet espace bénéficie, qu'il y soit lui-même directement éligible ou dont l'octroi découle d'un zonage plus vaste.